Deuxième principe : L’interdépendance / La pensée systémique comme base pour prendre de justes décisions

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Emmanuel JEGER

Accompagne les leaders et leurs équipes dans leurs transformations organisationnelles et humaines en les mobilisant pour une efficience collective.

D’après « Le choix du vivant » (Ed. LLL – 2018) – Marie-Hélène Straus et Eric Julien

Mourir au « Je » pour naître au « Nous »

Faire vivre et animer l’interdépendance qui relie

·      La théorie cellulaire nous apprend que chaque cellule vivante a une mission définie, qui lui est rappelée en permanence par les liens qu’elle entretient avec les autres cellules de son système.

·      Chaque cellule vivante dispose d’un système correcteur d’autodestruction appelé « apoptose ».

·      La disparition de signaux indicateurs de liens avec le système provoque le suicide de la cellule.

·      Une cellule qui ne reçoit plus de message de son système sur son utilité s’autodétruit.

·      Cette loi biologique du vivant nous indique par analogie les risques encourus par des organisations qui ne sont plus reliées à leur environnement ou à des collaborateurs qui ne sont plus reliés au système.

·      L’enjeu des managers est de pouvoir appréhender la globalité des interactions du système, comprendre comment elles fonctionnent afin de développer une pensée systémique intersubjective.

·      Une prise de recul qui permet d’acquérir une vision large afin de prendre des décisions plus « justes » que « bonnes », et d’influencer le système dans un objectif de pérennité.

A bientôt pour les chapitres suivants !